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testeur de piles 
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pour piles en tous genres 
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projet: W. Zeiller 
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@@@F_Einleitung 
Le testeur de piles décrit dans cet article teste les piles comme elles doivent l'être, 
c'est-à-dire sous charge, est très facile à réaliser et ne comporte que des 
composants courants. L'information qu'il fournit apparaît, non pas sur un instrument 
à bobine mobile, mais sur un affichage à LED robuste et inusable. Une astuce 
technique nous a permis de faire en sorte qu'une pile même si sa tension est 
tombée en-deçà de 1 V reste capable de produire l'allumage d'une LED. 
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Bien que rien nous permette d'affirmer qu'il n'existe pas de testeur de piles 
réellement bon, une rapide étude du marché nous a convaincu qu'il existe de très 
nombreux testeurs de piles ne répondant à ce que l'on peut en attendre. Cela ne 
tient cependant pas au fait que le principe sur lequel ils reposent est simple-il n'en 
va pas autrement pour notre testeur. Bien souvent ils sont tout simplement 
dimensionnés à la va-vite, voire mal conçus au point que l'indication qu'ils 
fournissent n'apprend pas grand chose. Certains testeurs annoncent qu'une pile est 
«bonne» dès lors qu'il existe un rien de tension entre ses pôles, certains autres ne 
délivrent ce certificat de bonne condition qu'à une tension de 2 V, une tension de 
cellule que n'atteint aucune des piles actuelles! 
À quel cahier des charges peut-on soumettre un bon testeur de piles? En fait ces 
exigences se résument à bien peu de choses. Il faut, pour commencer, que la 
mesure se fasse sous une certaine charge. L'état hors-charge d'une pile n'apporte 
aucune information fiable sur l'état réel de cet élément. Il faut donc, lors de la 
mesure, que la pile soit forcée de fournir un certain courant, pas trop ni trop peu non 
plus, vu qu'il est nécessaire que la pile y soit sensible. 
Il est important d'autre part, que lors de la mesure de la tension, on utilise des 
valeurs réelles pour des niveaux de référence. Nous avons, ici, opté pour 3 niveaux 
de test, à savoir 1,3, 1 et 0,7 V. À toute tension supérieure ou égale à 1,3 V l'état de 
la pile est considéré comme «bon»; une tension comprise entre 1,3 et 1 V se 
traduira par un «moyen», entre 1 et 0,7 V son état sera qualifié de «médiocre» (Ah 
ces bulletins des années 60!!!) alors qu'une tension inférieure à 0,7 V équivaut à 
«hors-service». 
 
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Une paire de BCXXX et 3 LED 
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Un coup d'oeil à la figure 1 montre que le schéma du testeur est étonnamment 
simple. Nous aurions pu faire encore plus simple en utilisant un instrument à bobine 
mobile pour la visualisation du résultat. La fragilité de ce type d'affichage nous a 
amené à lui préférer des LED. Celles-ci exigent, pour s'allumer, selon leur type, une 
tension comprise entre 1,6 et 2,4 V, valeur que peut difficilement fournir une pile 
ayant une tension nominale de 1,5 V. 
 
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Figure 1. La simplicité est l'atout majeur du schéma du testeur de piles. Le test des 
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piles de 1,5 V se fait par le biais de K1, celui des piles 9 V via K2. 
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Nous avons résolu ce problème par l'utilisation d'un multivibrateur astable constitué 
des transistors T1 et T2; il convertit la tension de 1,5 V présente au connecteur K1 
en une tension supérieure à 5 Vcc, disponible elle aux bornes de la self de choc L1. 
Notons que la fréquence de travail de l'astable est de l'ordre de 11 kHz. 
La tension aux bornes de L1 est donc largement suffisante pour ce que nous 
voulons en faire. Il suffirait donc de mettre en parallèle sur L1 une LED dotée de sa 
résistance de limitation pour disposer d'un testeur utilisable tel quel. Nous avons, 
comme le montre le schéma, monté 2 LED en parallèle sur L1. La valeur de la 
résistance de limitation de la LED rouge D1, R4, est telle que la LED s'illumine à 
une tension de 1 V environ. Dans le cas de la LED verte, D2, c'est une diode zener 
qui vient remplacer la résistance; son dimensionnement est tel que cette seconde 
LED s'illumine lorsque la tension atteint 1,3 V voire plus. 
Bien que notre électronique consomme un courant de quelque 30 mA, cette valeur 
est trop faible pour servir de charge de test. Ceci explique la présence de la 
résistance R6 prise en parallèle sur les bornes de contact de la pile. La valeur du 
schéma, 10 Ohm, est une valeur moyenne convenant à la majorité des types de pile 
courants. Si l'on ne teste que des piles Lady (R1) on pourra travailler à un courant 
légèrement plus faible de sorte que l'on pourra augmenter la valeur de R6 jusqu'à 
15 Ohm. Pour le test de modèles Baby (R14) le courant mérite d'être un peu plus 
important de sorte que l'on pourra envisager de ramener la valeur de R6 à 6,8 Ohm 
par exemple. Nous conseillons aux perfectionnistes de monter ces 2 résistances 
sur un inverseur. 

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Affichage 
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La pratique 
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L'utilisation de ce montage est simple. On branche la pile à tester à l'embase K1 à 
l'aide d'une paire de mini-cordons; attention à la polarité S.V.P., les LED D1 et D2 
donnant l'état de charge du cobaye. La pile ne mérite le qualificatif de «bonne» 
qu'en cas d'illumination de la LED verte, et ce à une intensité digne de ce nom. Le 
tableau ci-dessous donne une traduction plus nuancée des informations données 
par l'illumination (on non) des 2 LED. 
Pour que notre testeur de piles soit le plus universel possible, nous l'avons doté 
d'une capacité de test des piles compactes de 9 V. La pile sera branchée à 
l'embase K2, le circuit de test se résumant à une LED jaune, D4, associée à une 
diode zener, D5, et à une résistance, R5, prises en série avec elle. Le 
dimensionnement choisi se traduit par l'allumage de la LED jaune pour des tensions 
de pile supérieures à 7,5 V. 
La platine dessinée pour le testeur et représenté en figure 2 à des dimensions 
inférieures à celles d'une boîte d'allumettes. La réalisation ne devrait pas prendre 
plus d'une demi-heure. Le seul point auquel il faudra faire attention est la polarité 
des LED et des zener, en particulier à celle de la zener D3, sachant que les zeners 
pour tensions faibles sont en fait souvent des stabistors, c'est-à-dire des diodes 
montées en série. Il faudra dans ce cas-là inverser la polarité des stabistors par 
rapport à celle prévue, sur la sérigraphie, pour de vraies zener. On aura vite fait de 
s'en rendre compte. En cas d'inversion de polarité de D3 la LED D2 refusera tout 
simplement de s'illuminer; il n'y a, heureusement, pas de risque de dommage. 
 
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Figure 2. Un montage de ce genre pousse quasi-automatiquement à la 
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miniaturisation. 
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Notre dernière remarque concerne encore la zener D3. Vu les variations de la 
tension directe d'une LED verte à l'autre, il se peut que le choix pour cette zener 
d'une autre valeur de tension donne de meilleurs résultats. 
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Liste des composants 
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Circuit imprimé
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